- Nous continuons à positionner les portefeuilles en fonction de notre vision de l'allocation d'actifs ; cette semaine, nous apportons quelques changements au niveau du marché obligataire, ainsi que la réduction de certaines de nos expositions aux fonds actifs.
- Comme nous l'avons mentionné dans la section ci-dessus, les données suggèrent que les perspectives de l'économie chinoise sont bonnes et nous pensons que les effets complets de la croissance induite par la réouverture ne sont pas encore pris en compte dans les marchés des actions. Par conséquent, nous avons repositionné notre exposition aux actions des marchés émergents (ME) vers les actions de la région Asie-Pacifique (Asie, Pacifique et Japon). Nous bénéficions ainsi d'une exposition plus directe aux avantages de la croissance économique chinoise, tout en augmentant la diversification de l’exposition de nos portefeuilles au thème de la réouverture grâce à l'exposition accrue aux marchés développés comme le Japon.
- Nous pensons que les actions de l'Asie-Pacifique offrent également des valorisations plus attrayantes, car la réouverture de la Chine, associée à une action politique de soutien continue, a entraîné une dynamique positive de leurs prix et des prévisions de bénéfices.
- En restant sur le thème des pays émergents, nous avons introduit les obligations de ces pays dans les portefeuilles en mai 2020, puis nous les avons augmentées en 2021 dans un contexte de faibles rendements, avec un succès mitigé. Nous avons maintenant décidé de réaffecter notre exposition aux obligations souveraines des pays émergents à des obligations d'État de haute qualité, car la différence de rendement n'est plus aussi intéressante compte tenu des récentes hausses de taux (et des nouvelles hausses attendues) observées en Occident.
- Cela nous permet de réduire la sensibilité aux taux d'intérêt de l'allocation obligataire tout en augmentant sa qualité. Avec ces changements, les niveaux de risque globaux des portefeuilles ont légèrement diminué, car notre exposition aux actions est toujours biaisée vers les grandes entreprises de qualité.
Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures.